Nous ne résistons pas au plaisir de vous partager deux nouvelles : Un concert-littéraire ou une Lecture concert, le samedi 22 avril à 18h à la Bibliothèque Audou, Paris 3e. C’est gratuit, mais il faut absolument réserver et… vite ! Ces événements rencontrent un grand succès. La deuxième nouvelle ? Cette lecture-concert n’est qu’un amuse-bouche car, en septembre, vous pourrez vous procurer le livre d’Elise publié aux Editions Verdier.
Le point de départ de ce premier roman est le personnage d’Inaya, qui s’est dessiné avant tous les autres, et avant même que j’aie une idée précise du sujet. J’avais en tête cette petite fille forte, courageuse, curieuse. Avec elle, c’est de l’enfance dont je voulais parler, de la place qu’on accorde à la parole des enfants, à leurs désirs, de ce que les adultes sont capables de faire « pour leur bien ». Je me suis souvenue de l’affaire de l’Arche de Zoé, qui m’avait beaucoup marquée à l’époque, et ce fait divers m’a semblé être la matière première idéale pour creuser ces différentes questions.
C’est principalement ma famille qui m’a donné le goût pour la littérature et la lecture. La littérature a toujours été très présente chez moi. A partir du moment où j’ai appris, je n’ai cessé de lire. Ma mère m’a offert mes premiers livres et elle m’a toujours encouragée à lire, tandis que mon père m’a toujours raconté les histoires de son enfance – qu’il recueille aujourd’hui dans ses Mémoires. Ma grand-mère paternelle me lisait des histoires dans sa langue, le hongrois, et parfois même en suédois pour me faire plaisir. Elle écrivait toujours des lettres à mon père, qu’on gardait dans un meuble de notre salon et que j’essayais de décrypter.
Anna Mezey, auteure et animatrice d’ateliers d’écriture créative, est en résidence à l’Institut suédois à Paris et invite les visiteurs à partager des souvenirs ! RDV du 10 juillet au 15 août 2021, c’est gratuit, unique et… un peu confidentiel (chut…) ! Dans sa recherche artistique, Anna Mezey engage un chantier de fouille autour du souvenir de son frère perdu de vue. Elle n’a pour indices que des fragments de souvenirs d’enfance imprécis et les témoignages des personnes qui l’ont côtoyé.
Ce texte est issu d’un exercice d’écriture visant à créer un portrait de personnage en insérant des allitérations (répétitions de consonnes). Ce bref texte « Petite Martine » prend des accents de comptine. Les effets sonores facilitent la mémorisation. Agnès est parvenue à traduire le caractère du personnage à travers cette prosodie.
Fenêtre ou couloir Nouvelles publiées de Claire Blanchard-Thomasset Rémanence des mots applaudit la publication à compte d’éditeur de Claire Blanchard-Thomasset pour ses nouvelles Fenêtre ou couloir, aux Editions QUADRATURE. Cette maison d’édition est spécialisée dans la publication de nouvelles, un format littéraire souvent boudé – à tort – par les maisons d’édition. Avec QUADRATURE, les […]
La profession d’auteur, autrice, écrivaine, écrivain est enseignée aux Etats-Unis, à l’université depuis 1936. En France, l’arrivée de l’enseignement de la création littéraire date de 2013, mais s’impose peu à peu. On enseigne les beaux-arts, le théâtre, le cinéma, alors pourquoi pas accepter que des techniques narratives, des procédés littéraires puissent être enseignés ?
Espace chausse-cul définition par Lyne Fogel, participant aux ateliers à distance Rémanence des mots. Inventive et créative, elle a détourné les définitions de dictionnaire pour créer un texte plein d’humour et de fantaisie. Mais, finalement, on y croit à cet espace, non ?