Voyage poétique
Photos de paysages
De souvenirs sur les visages,
Photos en noir et blanc,
Parce qu’elles n’ont pas d’âge.
Marouèn
Libération d'expression
Photos de paysages
De souvenirs sur les visages,
Photos en noir et blanc,
Parce qu’elles n’ont pas d’âge.
Marouèn
Le Musée du Louvre nous a confié l’animation de plusieurs ateliers d’écriture en lien avec l’exposition Giorgio Vasari. Lors des jeux proposés au cabinet des estampes le week-end, les visiteurs se sont improvisés auteurs et certains ont accepté de partager leurs textes ! Réflexions, notes, impressions, émotions, fantaisie, humour, sens du suspense et imagination ont prolongé l’expérience de la visite de l’exposition.
« Une petite fille regarde en souriant un très jeune garçon qui vient de se faire mordre. Il pleure sous l’effet de la douleur, peut-être encore plus de la surprise du pincement ou de la moquerie de sa supposée sœur.La fille a posé sa main sur l’épaule du garçon dans une attitude protectrice alors que, visiblement, elle tient de l’autre, l’écrevisse à l’origine des pleurs. »
Une fois le cercueil ouvert, Romain, Nathalie et Paul s’étonnèrent. Le corps était non seulement trop léger, mais aussi dans un état impeccable qui ne correspondait pas aux blessures mentionnées sur le rapport.
Lire plusSes yeux brillants ont la flamme. Gare à vous si l’enquêtrice les dirige sur votre silhouette : elle la détaillera. Claire Dubois, ou CD, ne veut rien céder. La paléontologue porte en elle l’obsession de la découverte.
Quand elle pénètre l’établissement scolaire, Claire impressionne des enfants, déjà sous le choc. Car oui, un crime a été commis.
Lire plusGiorgino participe régulièrement aux ateliers à la carte de Rémanence des mots. Lors de l’un d’eux, il a développé une micro-nouvelle qui met en scène le suspense. Il traduit l’effet de confusion intérieure de son personnage en enchaînant les idées nourries par la peur et relevant de l’imaginaire. On ne suit cependant pas un flux/courant de conscience (ou stream of consciousness) – voix intérieure –, parce que le récit colle aux gestes du personnage-narrateur. Pourquoi une « micro-nouvelle » ? Parce qu’en quelques lignes, Giorgino construit un récit menant à une conclusion. Après avoir fait monter crescendo la tension, il opère un basculement narratif final.
Lire plusRéservé aux enfants à partir de 8 ans ! Lors de cet atelier d’écriture ré-créatif, nous réunirons le Capitaine Haddock (Tintin), Achab (Moby Dick), le Capitaine Nemo (Jules Verne) et Janet Coombe (Daphné du Maurier) sur un navire. Ils devront coopérer pour supporter une tempête. Nous inventerons une suite de péripéties avec des scènes pleines de suspense !
Lire plusParce que l’on devine un drame, le rythme des scènes, des chapitres suit les remous intérieurs de chaque personnage qui se succède tout en dévoilant quelques indices progressivement. Selon le trouble, l’attention ou l’inattention des personnages, on accède plus ou moins facilement à l’intrigue. Mais ce qui compte, c’est de ressentir l’écoulement du temps pendant le décompte d’une journée, en contraste avec la scène d’ouverture qui n’est qu’urgence et danger. C’est à travers le rythme de ses phrases qu’Agnès Laurent marque le style de « Rendors-toi tout va bien ».
Lire plusGaël Lecouedic écrit NUIT BLANCHE. Est-ce la suite de EN TRANSIT POUR NULLE PART ? Mystère ! Il est possible de reconstituer un récit… Si ce narrateur à la première personne était le même, se peut-il qu’il soit engagé dans des magouilles qui le dépassent, qu’il ne soit que le sujet d’une mafia ou même au service d’un financement politique douteux ? Le suspense est souligné par les descriptions, les ellipses créent des sauts dans le temps pour taire le pire : Un crime !
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